Parmi les changements utiles que l’on pourrait appliquer dès aujourd’hui dans les villes, il y a le remplacement des moyens de transport polluant, comme les voitures ou les camions par les transports en commun, le train et le vélo. En général, il faudrait réorganiser nos modes de déplacements. Il est important de redonner de l’importance à la nature dans nos agglomérations et dans nos cœurs. Il faut ainsi réapprendre à faire partie intégrante de notre planète en arrêtant de la séparer de nous, humains, soit disant “au dessus”. Par cette illustration, mon but est de montrer qu’un autre moyen de vivre en ville est possible en tout cas dans un avenir proche. Pour cela, seulement quelques changements qui, sans raison apparente, à part peut-être l’égo humain et sa folie des grandeurs, n’ont que très peu été adoptés.
Il faut favoriser les moyens de transport durable, mettre plus de végétation et moins de bétons dans nos villes. L’humanité devrait voyager près et surtout réapprendre à vivre.
Pour cette illustration, j’ai utilisé l’outils numériques, en l’occurrence le logiciel Krita ainsi qu’une image de référence montrant une vue d’un balcon vide sur une ville actuelle.
L’idée a donc été d’imaginer à quoi cette ville pourrait bien ressembler dans une dizaine d’années, si les gouvernements ainsi que la population à l’échelle locale voir mondiale, s’investissaient dans la protection de notre environnement et dans le développement durable.
Le personnage au premier plan est un de ces habitants engagés qui admire le paysage après s’être battu, car lui, fait partie de “ceux qui aiment assez la vie pour se battre pour elle” (référence à REVEILLONS-NOUS, de Avant l’orage).
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